Lilas
Lilas nous parle par le biais de l’humour des hormones féminines. Adolescence, maternité, ménopause, et principalement la « TPM » ou tension prémenstruelle. Femmes objets, consommatrices compulsives, divas, douces, bêtes sauvages… Certains jours susceptibles, d’autres encore plus susceptibles… Rien de transcendantal, juste des états d’âme. Des tensions, des coups de chaud, un manque d’air, de l’agressivité, de la libido au plus haut, de la libido au plus bas… Une montagne russe d’émotions, Un volcano.
Lilas, qui fait référence à la couleur violette, est celle du féminisme. Mais ce n’est pas pour ça qu’il s’agit d’une pièce qui défende à tout prix le féminisme, même si c’est vrai que dans Lilas nous sommes cinq femmes à être les protagonistes : trois interprètes, la compositrice et la metteuse en scène.
Lilas c’est la couleur que je vois sur scène sans aucune raison apparente, mais l’image se répète toujours. Dernièrement, je vois tout de couleur lilas.
TITRE | LILAS |
ESPACE | Chambre |
DURÉE | 60´ |
CONCEPT ET DIRECTION | Natalia Monge |
INTERPRÉTATION | Pilar Andrés, Helena Golab e Izaskun Santamaría |
CREATION | Directeur et interprètes |
MUSIQUE ORIGINALE | Itziar Madariaga |